Deux jours après un Conseil national de sécurité dont les mesures ont essuyé un torrent de critiques, la Première ministre a accepté de nous rencontrer. Toujours très posée, elle avoue qu’il faut accepter de vivre avec les critiques, mais refuse celle de l’incohérence. Avec au passage un coup de griffe aux experts dont « certaines sorties sont particulièrement dérangeantes », dit-elle.